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Dalida - Les Enfants Du Pirée
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Noyés de bleu sous le ciel grec Un bateau, deux bateaux,trois bateaux S'en vont chantant Griffant le ciel ? coups de bec Un oiseau, deux oiseaux, trois oiseaux Font du beau temps Dans les ruelles d'un coup sec Un volet, deux volets, trois volets Claquent au vent, Et faisant une ronde avec Un enfant, deux enfants, trois enfants Dansent gaiement.
Mon dieu que j'aime, Ce port du bout du monde Que le soleil innonde De ses reflets dorés Mon dieu que j'aime, Sous les bonnets oranges Tous les visages d'anges Des enfants du Pirée.
Je r?ve aussi d'avoir un jour, Un enfant, deux enfants, trois enfants Jouant comme eux Le long du quai flanent toujours Un marin, deux marins, trois marins aventureux De notre amour on se fera Un amour, dix amours, mille amours Noyés de bleus Et nos enfants feront des gars Que les filles A leur tour rendront heureux.
Mon dieu que j'aime, Le pont du bout du monde Que le soleil innonde De ses reflets dorés Mon dieu que j'aime, Sous les bonnets oranges Tous les visages d'anges Des enfants du Pirée.
N.B: la chanson s'arr?te ici dans certaines versions (?)
Quand on parlait de voyages Vers de fabuleux rivages Tu disais qu'on les feraient nous aussi, Oui mais quand on en a eu l'âge Moi j'ai quitté le village, Tu m'as dit je t'attendrais toute ma vie
Mais quelques fois, Les bateaux s'en vont si loin Que le flot les entrainent Mais quelques fois, Les bateaux s'en vont si loin Que quelques fois Trop tard ils reviennent.
Apr?s tant et tant d'années Je t'ai enfin retrouvé Devant nous le passé vient de surgir Mais mon dieu comme c'est étrange Oh mon dieu comme c'est étrange Nous n'avons soudain plus rien rien ? nous dire
Car quelques fois, Les bateaux s'en vont si loin Et le flot les entrainent Car les bateaux quelques fois, S'en vont si loin Mais quelques fois Trop tard ils reviennent Mais quelques fois Trop tard ils reviennent
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Fragment na dzis:
Krzysztof Kiljański : Prócz Ciebie nic
Świat szybki jak, młody wiatr pędzi co tchu
I nie ma czasu na miłość już.
Więc proszę Cię blisko bądź, kochaj mnie
Trwaj przy mnie, bo wokół wzburzone morze
Tylko Twoja dłoń. To stały ląd.
>Żyj z całych sił, życie tli się płomieniem tu
Wątłym i łatwo zagasić go.
Więc proszę Cię blisko bądź, kochaj mnie
Trwaj przy mnie, bo wokół wzburzone morze
Tylko Twoja dłoń. To stały ląd.
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Co los chce dać lub zabrac mi.
Dziś oprócz Ciebie wiem, nie mam nic. 2x
Więc blisko bądź i kochaj mnie
Trwaj przy mnie, bo wokół wzburzone morze
Tylko Twoja dłoń. To stały ląd.
Stały ląd. ....
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