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D'abord nos corps qui se séparent, T'es seule dans la lumi?re des phares, T'entends ? chaque fois que tu respires Comme un bout de tissu qui se déchire. Et ça continue encore et encore, C'est que le début d'accord, d'accord...
L'instant d'apr?s le vent se déchaîne, Les heures s'allongent comme des semaines, Tu te retrouves seule assise parterre, A bondir ? chaque bruit de porti?re. Et ça continue encore et encore, C'est que le début d'accord, d'accord...
Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher, C'est toujours le m?me film qui passe, T'es toute seule au fond de l'espace. T'as personne devant...
La m?me nuit que la nuit d'avant, Les m?mes endroits deux fois trop grands, Et t'avances comme dans des couloirs, Tu t'arranges pour éviter les miroirs, Mais ça continue encore et encore, C'est que le début d'accord, d'accord...
Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher, C'est toujours le m?me film qui passe, T'es toute seule au fond de l'espace. T'as personne devant... T'as personne...
Faudrait que t'arrives ? en parler au passé, Faudrait que t'arrives ? ne plus penser ? ça Faudrait que tu l'oublies ? longueur de journée.
Dis-toi qu'il est de l'autre côté du pôle, Dis-toi surtout qu'il ne reviendra pas. Et ça fait marrer les oiseaux qui s'envolent, Les oiseaux qui s'envolent. Les oiseaux qui s'envolent.
Tu comptes les chances qu'il te reste, Un peu de son parfum sur ta veste, Tu avais d? confondre les lumi?res D'une étoile et d'un réverb?re. Et ça continue encore et encore, C'est que le début d'accord, d'accord... Et ça continue encore et encore, C'est que le début d'accord, d'accord...
Y'a des couples qui se défont, Sur les lames de ton plafond, C'est toujours le m?me film qui passe, T'es toute seule au fond de l'espace, T'as personne devant... personne...
Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher, C'est toujours le m?me film qui passe, T'es toute seule au fond de l'espace. T'as personne devant... personne...
Y'a des couples qui se défont, Sur les lames de ton plafond, C'est toujours le m?me film qui passe... Le m?me film qui passe...
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Fragment na dzis:
Krzysztof Kiljański : Prócz Ciebie nic
Świat szybki jak, młody wiatr pędzi co tchu
I nie ma czasu na miłość już.
Więc proszę Cię blisko bądź, kochaj mnie
Trwaj przy mnie, bo wokół wzburzone morze
Tylko Twoja dłoń. To stały ląd.
>Żyj z całych sił, życie tli się płomieniem tu
Wątłym i łatwo zagasić go.
Więc proszę Cię blisko bądź, kochaj mnie
Trwaj przy mnie, bo wokół wzburzone morze
Tylko Twoja dłoń. To stały ląd.
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Co los chce dać lub zabrac mi.
Dziś oprócz Ciebie wiem, nie mam nic. 2x
Więc blisko bądź i kochaj mnie
Trwaj przy mnie, bo wokół wzburzone morze
Tylko Twoja dłoń. To stały ląd.
Stały ląd. ....
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